Le Plan Bush sur la Cybercriminalité aura du mal à démarrer Marc OLANIE le 11/10/2002 Un IPSec plus livresque que réel, un Secure BGP trop coûteux pour être adopté, un DNS sécurisé assez complexe pour décourager les premières bonnes intentions, telles sont les trois plaie d?Internet estiment les agents fédéraux US. Notre confrère Network World <http://www.nwfusion.com/news/2002/1007security.html> fait le point sur chacun de ces protocoles, explique dans les grandes lignes pourquoi le « plan Bush » sur la cybersécurité aura du mal à démarrer. C?est à la fois un problème d?argent ?car certaines mises à niveau exigent un remplacement pur et simple des équipements de commutation-, de conviction (pourquoi s?équiper alors que tel ou tel confrère opérateur n?a pas encore mis son infrastructure à niveau ?), de coût d?exploitation et d?administration lié à une surcharge pondérale des échange, ainsi qu?une question de complexité : le déploiement d?IPSec, par exemple, concerne aussi bien l?usager en bout de chaîne que l?administrateur. Entre ces deux profils, il existe parfois un abîme d?incompréhension, un océan de différences culturelles. Le problème se résume donc ainsi : Après des années d?insouciante exploitation et d?explosion démographique, Internet doit se « calmer » à grand coup de normes en ampoules et protocoles en gélules. Il est amusant de noter que l?on fête peu ou prou la mort clinique d?une autre école, qui, pour sa part, avait fait passer la norme et la sécurité protocolaire avant même toute idée d?exploitation généralisée. Cela s?appelait comment, ce « machin » là? X 400 ou 500... OSItruc? un bidule qui utilisait du binaire abstrus au lieu de chaînes Ascii compréhensibles? Ca va me revenir? attendez ! ---> Shaka( Rudy) Helpc list owner <mailto:shaka.rudy@xxxxxxxxx> shaka.rudy@xxxxxxxxx