It turns out that this buttman is a religious apologists who highlited the thatness over the whatness of jesus, so called messiah by these clowns. No wonder he was friends with the martin aaHoleHeidegger who highlighted seyn over sein while not forgtetting (Verlassenheit) being over Being but rather beings & not beingS, which is very different from bongs and Beings. From: palma, adriano paolo shaul גֵּרְשֹׁם [mailto:palma@xxxxxxxx] Sent: 17 February 2015 12:50 To: Yasuko D'Hulst Subject: Re: [tlm] Conférence de Brice Fauconnier 19/02 "Les problèmes d’évaluation de l’« après-guerre » : dynamique, réseaux et interprétations de la période 1931-1955" bonsoir M.me Z, palma, KZN reply to palmaadriano@xxxxxxxxx<mailto:palmaadriano@xxxxxxxxx> 1:1 Neither from itself nor from another, Nor from both, Nor without a cause, Does anything whatever, anywhere arise.[6] 15:9 If intrinsic nature does not exist, of what will there be alteration? If intrinsic nature does exist, of what will there be alteration? 1. /bdag las ma yin gzhan las min//gnyis las ma yin rgyu med min//dngos po gang dag gang na yang//skye ba nam yang yod ma yin/ 1. No thing anywhere is ever born from itself, from something else, from both or without a cause. 2. /rkyen rnams bzhi ste rgyu dang ni//dmigs pa dang ni de ma thag//bdag po yang ni de bzhin te//rkyen lnga pa ni yod ma yin/ 2. There are four conditions:Causes, objects, immediate and dominant. There is no fifth. 3. /dngos po rnams kyi rang bzhin ni//rkyen la sogs pa yod ma yin//bdag gi dngos po yod min na//gzhan dngos yod pa ma yin no/ 3. The essence of things does not exist in conditions and so on. If an own thing does not exist, an other thing does not exist. 4. /bya ba rkyen dang ldan pa med//rkyen dang mi ldan bya ba med//bya ba mi ldan rkyen ma yin//bya ba ldan yod ‘on te na/ 4. There is no activity which has conditions. There is no activity which does not have conditions. There are no conditions which do not have activity, and none which do have activity. palma mobile 07 62 36 23 91 from abroad +[27] 76 23 62 391 *only in Europe inst. J. Nicod 29 rue d'Ulm f-75005 paris ________________________________ De: "Yasuko D'Hulst" <yasuko.d-hulst@xxxxxxxx<mailto:yasuko.d-hulst@xxxxxxxx>> À: tlm@xxxxxxxx<mailto:tlm@xxxxxxxx> Envoyé: Mardi 17 Février 2015 12:30:20 Objet: [tlm] Conférence de Brice Fauconnier 19/02 "Les problèmes d’évaluation de l’« après-guerre » : dynamique, réseaux et interprétations de la période 1931-1955" Les problèmes d’évaluation de l’« après-guerre » : dynamique, réseaux et interprétations de la période 1931-1955 Conférence de Brice Fauconnier (CEJ-INALCO) dans le cadre du séminaire interdisciplinaire du Centre de recherches sur le Japon de l'EHESS (UMR 8173). Vous trouverez le résumé ci-dessous et en pièce joint. Au plaisir de vous accueillir nombreux. Si l’on se trouve maintenant loin de l’urgence des années suivant la défaite, et plus encore du vécu de la guerre, les recherches historiques les plus récentes restent, à bien des égards, marquées par la nécessité de comprendre le processus ayant mené aux conflits en Asie et dans le Pacifique. Longtemps dominé par le marxisme et la notion de fascisme, le discours des historiens japonais dut néanmoins faire face à plusieurs difficultés en 1946 et 1955 : l’effet limité des purges des ultranationalistes et des militaires ; la mise à l’index et le discrédit du Parti communiste japonais ; la continuité flagrante de nombreuses élites ; la remilitarisation du Japon et le soutien de son partenaire américain accompagnant la guerre froide. L’idée d’une période dite fasciste jusqu’en 1945, puis d’une autre dit démocratique s’en trouva relativisée et l’obligation d’une étude approfondie de la guerre (quelle que soit ses limites chronologiques et ses caractéristiques) devait éclairer par contraste un « après-guerre » souvent peu défini. La présente communication se propose de présenter les enjeux de cette définition de la « guerre » et de l’« après-guerre » en deux étapes. D’abord une remise en contexte des événements généralement retenus comme marquants, du début des années trente au milieu des années cinquante. On verra que les choix des historiens varient grandement et qu’ils masquent parfois une légitimation de certains aspects des conflits en Asie, ou dans la Pacifique. Ensuite, les oppositions d’interprétation apparaîtront plus nettement à partir de deux courants des recherches historiques contemporaines en concurrence : le premier, marqué par les notions marxistes et des intellectuels tels que Maruyama Masao (丸山真男) ou Tsurumi Shunsuke (鶴見俊輔), a développé une analyse fouillée très critique du Japon en Asie et dans le monde en terme de fascisme, notamment sur la guerre comme invasion en Asie, la militarisation de la société et les sacrifices de la population. Le second, dont le pionnier est Itô Takashi (伊藤隆), est plus récent. Insatisfait de la notion de fascisme trop vaste et peu discriminante, sa description minutieuse des forces en présence en 1939-1940 et de leur interactions sera reprise et détaillée par deux de ses disciples les plus brillants : Moriyama Atsushi (森山優) et Furukawa Takahisa (古川隆久). La sophistication de leur analyse et la richesse de leur documentation des années 1937-1945 ont pour résultat à normaliser les conflits avec l’étranger. Une position qu’ils soutiennent et dont les dangers sont à relier avec le militarisme de certains leaders du Japon actuel. Jeudi 19 février 2015 de 11h00 à 13h00 EHESS, Salle 2, 105 boulevard Raspail 75006 Paris Blog du Centre Japon http://carnetsjapon.hypotheses.org -- Yasuko D’Hulst École des Hautes Études en Sciences Sociales CNRS UMR 8173 – Centre de recherches sur le Japon 105 boulevard Raspail 75006 Paris Tél. : 01 53 63 51 62 / Fax : 01 53 63 51 01 http://crj.ehess.fr http://carnetsjapon.hypotheses.org