De : Guy Crequie [mailto:guy.crequie@xxxxxxxxx] Envoyé : dimanche 10 novembre 2013 13:56ms Objet : nucléaire iranien et enjeux pour la paix ! COMMENTAIRE DE GUY CREQUIE A PROPOS DU DOSSIER IRANIEN RELATIF AU NUCLEAIRE ET DE LA DISCUSSION A GENEVE LIRE CI- DESSOUS ! Pour moi et heureusement, je retiens, malgré 3 journées d’âpres discussions à Genève et l’absence d’un accord avec des avancées, que la poursuite du dialogue avec les représentants iraniens se poursuivra dès le 20 novembre Affaibli, par les sanctions économiques, le Nouveau Président iranien veut renouer un dialogue avec l’Occident et a montré des signes d’ouverture depuis son élection. Cependant la prudence occidentale s’explique par le fait que les Ayatollahs, et dans ce cadre le guide suprême continuent à orienter idéologiquement le pays et le souvenir de l’Ancien Président iranien ayant déclaré vouloir détruire l’Etat d’Israël reste présent dans les mémoires Ensuite, il est ce fait que comme d’autres : l’Iran : revendique son droit à disposer du nucléaire civil, et cette réalité tient à plusieurs causes qui se cumulent : l’indépendance énergétique est un droit, la réalité actuelle du poids du lobby pétrolier sur l’économie mondiale dépasse l’Iran, le retard dans les recherches et la mise en œuvre des énergies renouvelables ajoute à la difficulté, comme celle que l’existence du nucléaire civil conduit facilement au nucléaire militaire. Cependant, un accord avec L’Iran ouvrant la voie à de nouvelles coopérations, aurait des retombées considérables s’agissant de la paix mondiale et de la lutte contre le terrorisme : la diplomatie occidentale a-t-elle bien appréhendé cela ? Ensuite compte tenu de l’évolution du monde avec la mondialisation la diplomatie internationale doit se garder de l’arrogance ou de l’esprit : le bon et la morale sont chez nous, et l’autre mérite la prudence ou l’allégeance ou la justification obligatoire ! L’arme nucléaire est un danger : quelque qu’en soit le détenteur !Il n’ y a pas un détenteur noble et un détenteur dangereux ! Comme le réclament l’Association mondiale des Maires pour la paix (que j’avais proposé en 2010 pour le Prix Nobel avec Ernesto KAHAN), et Monsieur Daisaku IKEDA, dans ses propositions pour la paix adressées chaque année depuis 1983 chaque 26 janvier à l’ONU, il faudrait aboutir au désarmement nucléaire total en 2020, avec une échéance importante en 2015, ceci car se tiendra en 2015 la conférence d’examen du TNP (traité de non- prolifération ) et le G8 qui se tiendra en 2015 ,pourrait l’être au Japon à Hiroshima, et celui de 2016 en Allemagne en inversant l’ordre prévu et au cours de ce sommet = devrait être examiné le processus de négociation pour un convention sur les armes nucléaires. Copyright Guy CREQUIE Ecrivain français –Observateur social à finalité philosophique Messager de la culture de la paix de l’UNESCO Représentant français d’ONG internationales de paix et d’harmonie Blog http://guycrequie.blogspot.com COMMENT OF GUY CREQUIE IN CONNECTION WITH THE IRANIAN FILE RELATING TO THE NUCLEAR POWER AND OF THE DISCUSSION IN GENEVA LIRA BELOW! For me and fortunately, I retain, in spite of 3 days of rough discussions to Geneva and the absence of an agreement with projections, that the continuation of the dialog with the Iranian representatives will continue by November 20th Weakened, by the economic sanctions, the New Iranian President wants to join again a dialog with the Occident and showed signs of opening since its election. However Western prudence is explained by the fact why the Ayatollahs, and within this framework the supreme guide continue to direct the country ideologically and the memory of the Former Iranian President having stated to want to destroy the State of Israel remains present in the memories Then, it is this fact that like others: Iran: assert its right to have the civilian nuclear, and this reality is due to several causes which cumulate: energy independence is a right, the current reality of the weight of the oil lobby on the worldwide economy exceeds Iran, the delay in research and the utilization energy renewable energies adds to the difficulty, like that which the existence of the civilian nuclear easily leads to the military nuclear power. However, an agreement with Iran which opens up the way for new co-operations, would have considerable repercussions as regards world peace and of the fight against terrorism: did the Western diplomacy apprehend that well? Then taking into account the evolution of the world with globalization the international diplomacy must keep arrogance or spirit: the good and morals are on our premises, and the other deserves prudence or the allegiance or the obligatory justification! The nuclear weapon is a danger: some how is the holder!There are not a noble holder and a dangerous holder! As claim it the Worldwide association of the Mayors for the peace (which I had proposed in 2010 for the Nobel Prize with Ernesto KAHAN), and Mr Daisaku IKEDA, in his proposals for the peace addressed each year since 1983 each January 26th to UNO, it would be necessary to lead to total nuclear disarmament in 2020, with an important expiry in 2015, this because will be held in 2015 the conference of examination of the NPT (non-proliferation treaty) and the G8 which will be held in 2015, could the being in Japan in Hiroshima, and that of 2016 in Germany by reversing the order envisaged and during this top = should be examined the negotiation process for a convention on nuclear weapons. Copyright Guy CREQUIE French writer - social Observer with philosophical purpose Messenger of the culture of the peace of UNESCO French representative of ONG international of peace and harmony Blog http://guycrequie.blogspot.com ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………….. L'espoir d'un accord sur le nucléaire iranien a été douché dans la nuit de samedi à dimanche. Quelles sont les raisons de cet échec, les points de fixation de part et d'autre. L'analyse de François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France en Iran. Le ministre des Affaires étrangères iranien Mohammad Javad Zarif (3e à gauche), la diplomate en chef de l'Union européenne Catherine Ashton (au centre) et le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius. L'intransigeance de la France a été pointée du doigt dans l'échec des négociations de Genève sur le nucléaire iranien. Propos recueillis par Catherine Gouëset, publié le 10/11/2013 à 10:55 l’Express En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/nucleaire-iranien -les-raisons-de-l-echec-des-negociations-de-geneve_1298128.html#So1EToFAQiaq daLe.99 Reuters/Jean-Christophe Bott AVERTISSEMENT Après des années d'impasse, un accord semblait imminent entre l'Iran et les pays occidentaux sur la question du nucléaire, dans le cadre des négociations de Genève. Entamées jeudi, les discussions se sont accélérées, conduisant les chefs de la diplomatie des 5+1 (Etats-Unis, Russie Chine, France Grande-Bretagne plus l'Allemagne) à rejoindre l'équipe des négociateurs. Elles se sont finalement soldées sur un échec dans la nuit de samedi à dimanche. Un nouveau cycle de discussions devrait se tenir le 20 novembre prochain. L'éclairage de François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France en Iran. La venue des ministres des Affaires étrangères des 5+1 à Genève laissait augurer une percée dans ces négociations? Comment, selon vous, expliquer cet échec? Ce qui s'est produit à Genève est inhabituel dans une négociation. Il semble qu'à l'arrivée des ministres, John Kerry, Laurent Fabius, William Hague, Guido Westerwelle, les négociations ont été rouvertes. En général, le dossier est quasiment bouclé par les collaborateurs des cabinets. Il ne reste plus qu'à signer. Visiblement, il restait des questions de fond non réglées. Comme l'enrichissement d'uranium et le réacteur d'Arak. On peut d'ailleurs s'étonner de la fixation de Laurent Fabius --et de Benyamin Netanyahu-- à ce sujet. Ce réacteur à eau lourde destiné à la recherche, peut certes permettre la production de plutonium de qualité militaire, et présente donc un danger de prolifération. Il est semblable à celui qui a permis à Israël et au Pakistan de fabriquer l'arme atomique. Mais malgré les annonces de l'Iran sur son achèvement en 2014, tous les experts s'accordent sur le fait qu'il faudra encore plusieurs années pour qu'il soit achevé. Rien ne faisait donc de cette question une priorité à traiter dans un accord préliminaire. Pourquoi l'Iran fait -il de l'enrichissement d'uranium une ligne rouge? L'enrichissement d'uranium est une pièce essentielle d'un programme nucléaire complet. Le combustible nucléaire peut soit être acheté à l'extérieur, soit produit à l'intérieur du pays. L'Iran considère que s'il se contente d'acheter de l'uranium enrichi, il peut avoir des mauvaises surprises. Il en a eu par le passé avec le contrat Eurodif [au lendemain de la révolution, la France avait refusé de fournir à la République islamique l'uranium enrichi prévu dans un accord contracté du temps du shah], même si à l'époque, la France avait de bonnes raisons d'avoir refusé de livrer l'uranium promis. Plus récemment, l'Iran a souhaité acheter de l'uranium enrichi pour son réacteur de recherche de Téhéran. En raison des réticences internationales, il n'a pas pu en obtenir. C'est pourquoi l'Iran souhaite être capable de produire lui-même au moins une partie du combustible dont il a besoin. Pas la totalité d'ailleurs. Pour la centrale de Bouchehr, ce sont les Russes qui fournissent le combustible. La France a été au coeur du blocage des négociations... Laurent Fabius a effectivement adopté une posture très intransigeante. Il a insisté sur le fait qu'il fallait prendre en compte la préoccupation d'Israël et des Pays arabes. Peut-être y a-t-il une question de calendrier, à une semaine de la visite de François Hollande à Tel Aviv. Faut-il y voir également une façon de manifester le dépit pour la façon dont la France a été traitée par les Etats-Unis sur le dossier syrien? Paris reste sur la ligne tracée par Nicolas Sarkozy. L'ancien président était convaincu que la ligne dure était la seule solution pour faire renoncer l'Iran dans sa course au nucléaire. Il a été en pointe pour l'adoption de sanctions au niveau européen. L'arrivée de François Hollande à l'Elysée n'a pas amené de changement de politique, malgré le geste symbolique de la poignée de main échangée avec le nouveau président Hassan Rohani en marge de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre. Sans doute parce que les fonctionnaires et les experts du dossier du nucléaire iranien au Quai d'Orsay sont restés en place; ils ont imprimé l'orientation de la nouvelle équipe. Quelle est la raison de la virulence de l'opposition d'Israël, ainsi que de l'Arabie saoudite à un accord avec l'Iran? J'y vois des raisons de deux ordres. Sur le plan du nucléaire, Tel Aviv et Riyad craignent un mauvais accord qui permettrait à l'Iran de continuer à développer son programme et de chercher à se procurer l'arme atomique. Sur le plan politique, le retour à des relations normales entre l'Iran et les Pays occidentaux risquerait de leur faire perdre, à l'un comme à l'autre, la relation privilégiée qu'ils entretiennent avec les Etats-Unis et l'Europe. Un tel changement risque de modifier les équilibres actuels dans la région et cela les inquiète. J'estime pour ma part qu'un bon accord pourrait créer une atmosphère de détente avec l'Iran dont la portée pourrait aller au-delà du nucléaire. Cela renforcerait la position en interne du nouveau président Hassan Rohani et pourrait lui permettre tenter d'apaiser les autres querelles de l'Iran avec le monde extérieur. En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/nucleaire-iranien -les-raisons-de-l-echec-des-negociations-de-geneve_1298128.html#So1EToFAQiaq daLe.99 --- Ce courrier électronique ne contient aucun virus ou logiciel malveillant parce que la protection avast! Antivirus est active. http://www.avast.com