De : Guy Crequie [mailto:guy.crequie@xxxxxxxxxx] ;
Envoyé : samedi 3 décembre 2016 15:55
Objet : TR: FOOTBALL- MŒURS ET POUVOIR DE l’ARGENT ! R: FOOTBALL MANNERS AND
POWER Of the MONEY!
FOOTBALL- MŒURS ET POUVOIR DE l’ARGENT !
France info signale :
La vedette du Real Madrid Cristiano Ronaldo et l'entraîneur de Manchester
United Jose Mourinho auraient participé à un "système de dissimulation fiscale
et de blanchiment", accuse vendredi un consortium de médias européens, ce que
contestent les représentants des deux stars. L'attaquant de Monaco Falcao est
également visé.
Blanchiment d’argent, fraudes fiscales... Quand le football est accusé de
profiter de l'argent sale. Les superstars du foot Cristiano Ronaldo (Real
Madrid) et José Mourinho, coach de Manchester United, sont accusés de
dissimulation fiscale par douze médias européens, dans une enquête baptisée
"Football Leaks" et basée sur la fuite de 18,6 millions de documents, sur le
modèle des "Panama Papers".
La publication, assurée par Mediapart (article abonnés) en France, a débuté
dans la soirée du vendredi 2 décembre et durera trois semaines. Les premiers
incriminés, Ronaldo, Mourinho et l'attaquant de Monaco Radamel Falcao, font
tous partie du portefeuille du super-agent du foot, le Portugais Jorge Mendes,
également mis en cause et qui conteste ces accusations.
Il avait vu le coup venir, car il avait fait publier dès vendredi matin, via sa
société Gestifute, un communiqué assurant que Ronaldo et Mourinho respectent
"pleinement leurs obligations fiscales vis-à-vis des autorités espagnoles et
britanniques". Gestifute se plaignait d'avoir été interrogée de façon
"insidieuse" par un consortium de médias.
Un "système de dissimulation fiscale"
Ce dernier, l'European investigative collaborations (EIC), accuse Ronaldo,
grand favori pour le prochain Ballon d'Or, d'avoir "dissimulé 150 millions
d'euros dans les paradis fiscaux, grâce à des montages offshore passant par la
Suisse et les Iles vierges britanniques". Les documents exploités par l'EIC -
obtenus au départ par l'hebdomadaire allemand Der Spiegel - montreraient
comment CR7 "a encaissé, en toute discrétion, un total de 149,5 millions
d'euros de revenus de sponsoring dans des paradis fiscaux ces sept dernières
années". "Sur cette fortune, l'attaquant n'a payé que 5,6 millions d'euros
d'impôts. Soit à peine 4%, et sans être poursuivi pénalement", affirme l'EIC.
Outre Mediapart en France, le projet "Football Leaks" rassemble Der Spiegel
(Allemagne), The Sunday Times (Royaume-Uni), Expresso (Portugal), El Mundo
(Espagne), L'Espresso (Italie), Le Soir (Belgique), NRC Handelsblad (Pays-Bas),
Politiken (Danemark), Falter (Autriche), Newsweek Serbia (Serbie) et The Black
Sea, média en ligne créé par le Centre roumain pour le journalisme
d'investigation.
Selon Mediapart, soixante journalistes issus de douze journaux ont exploité 1
900 gigaoctets de documents pendant sept mois pour révéler les "Football
Leaks".
Par ailleurs selon France 24 :
Depuis la mi-novembre, plusieurs anciens footballeurs ont brisé le silence et
affirmé avoir été abusés sexuellement durant leur formation, dans les années
70-80. Des déclarations qui plongent le football anglais dans un vaste scandale
de pédophilie.
De l’aveu même de la Fédération anglaise de football (FA), il s’agit de la
"plus grande crise" qu’elle ait connue. Depuis la mi-novembre, le football
anglais est plongé dans un scandale de pédophilie qui fait la une des
quotidiens britanniques. En deux semaines, plusieurs victimes présumées sont
sorties du silence, s’infiltrant dans la brèche ouverte par l’ancien joueur
professionnel Andy Woodward, 43 ans aujourd’hui, qui s’est tout récemment
confié au Guardian sur le calvaire qu’il avait vécu dans les années 80.
"Jusqu’à aujourd’hui ma vie a été ruinée. Mais combien d’autres l’ont été ? Je
parle de ces centaines d’enfants que Barry a détectés pour de nombreux clubs",
se questionnait alors Andy Woodward dans le quotidien. Sur le banc des accusés,
Barry Bennell, entraîneur britannique et détecteur de jeunes talents du ballon
reconnu dans tout le Royaume-Uni. Et en face, un contingent de plus en plus
dense de footballeurs, qui affirment avoir été victimes d’abus sexuel de sa
part.
Un multi-récidiviste
Au total, une vingtaine de mises en causes, certaines portées par quelques noms
connus dans le milieu du football britannique comme Steve Walters, 44 ans et
ancien coéquipier de Woodward à Crewe Alexandra – un club entraîné par Bennell
dans les années 80 – ou encore l’ex-international David White, 49 ans.
"Mentalement, il a détruit beaucoup de jeunes garçons", accuse Walters, qui a
expliqué au Guardian qu’il avait été victime d’abus entre 12 et 14 ans.
Barry Bennell, qui doit comparaître devant la cour du Cheshire Sud le 14
décembre prochain, traîne derrière lui un lourd passé. L’homme de 62 ans a déjà
été condamné à quatre ans de prison pour avoir abusé d’un mineur britannique
lors d’une tournée en Floride en 1994, puis a également écopé d’une peine de
neuf ans en 1998, après avoir été reconnu coupable de 23 abus sexuels sur six
garçons. En 2015, il a de nouveau été emprisonné à la suite d’une agression sur
un mineur lors d’un stage d’entraînement dans le nord-ouest de l’Angleterre, à
Macclesfield.
De nouveau dans la tourmente depuis deux semaines, l’ancien coach a été
hospitalisé après avoir été retrouvé inanimé, vendredi 25 novembre, dans un
parc près de Stevenage (Nord de Londres). Et même si la police s’est refusée à
tout commentaire depuis, tout porte à croire que Bennett, acculé, aurait pu
commettre une tentative de suicide.
Mais si depuis quinze jours, Barry Bennett cristallise l’attention, l’affaire
de pédophilie qui frappe le football anglais prend des proportions de plus en
plus conséquentes. La FA, dont le président Greg Clarke a dénoncé des "crimes
odieux", a annoncé l’ouverture d’une enquête et mis une ligne téléphonique
dédiée afin que les footballeurs victimes d’abus sexuels puissent dénoncer
leurs agresseurs.
La partie émergée de l’iceberg
D’autres, sans impliquer nommément Bennett, ont aussi trouvé le courage de
parler. C’est le cas notamment de l’ancien joueur de Tottenham, Liverpool et
Manchester City Paul Stewart. "Les cicatrices mentales que cela a laissé m'ont
mené à l'alcool et à la drogue", regrette l’ancien joueur, qui relate avoir
subi des abus jusqu’à l’âge de 15 ans. "Je veux que les gens se rendent compte
à quel point c'est difficile de raconter tout ça."
Selon la vingtaine de témoignages reçus par les instances ces derniers jours,
au moins sept clubs seraient directement impliqués dans le scandale. "Cela a
commencé avec Crewe, et ça s'est poursuivi à Manchester City, Stoke, Blackpool,
Newcastle, Leeds...", rapporte Gordon Taylor, le directeur exécutif de
l’Association anglaise des footballeurs professionnels (PFA).
Puis, mercredi 30 novembre, le nom du Chelsea FC a été ajouté à cette funeste
liste. Dans un long article, le Telegraph révèle que le club londonien a
étouffé un scandale similaire en achetant le silence de l’un de ses anciens
pensionnaires, victime lui aussi d’abus sexuels dans les années 1970. Les
faits, reconnus par la direction des Blues, mettent en accusation l’ancien
"chief scout" du club Eddie Health, décédé depuis ; ils auraient été occultés
en échange d’un versement de liquidités au cours des trois dernières années,
contrepartie d'un "accord de confidentialité".
De quoi alimenter un peu plus la thèse selon laquelle l’affaire Bennett n’est
finalement que la partie immergée de l’iceberg. Et Gordon Taylor de conclure :
"Peut-être que vu l’ampleur des révélations à ce jour, il ne faudra pas être
surpris si l’on découvre d’autres cas. Maintenant, il faut attendre de voir
combien de joueurs se manifesteront."
COMMENTAIRE DE GUY CREQUIE = observateur social à finalité philosophique !
Certaines, certains, peuvent se demander en quoi ce type de commentaires a un
quelconque intérêt et rapport avec des réseaux de paix et d’harmonie ? la
réponse est que certaines pratiques médiatisées de façon omniprésente sont un
frein à la lucidité des consciences et des orientations d’existence favorisant
le respect des êtres humains et de la dignité des pratiques pour le bien commun
et la santé morale des peuples.
Certes, le cyclisme, l’athlétisme, et dans une moindre mesure le rugby et le
tennis ont pu être affectés par telle ou telle affaire, mais le football sport
le plus régulièrement pratiqué et médiatisé en cristallise tous les excès.
La France est-elle totalement épargnée par ce type de scandale ?Je ne suis pas
un journaliste ou juriste spécialisé. Je n’ai pas d’exemples prouvés, validés
concernant telle personnalité du sport et comme il se dit :sans la preuve il y
a la présomption d’innocence « !
Cependant, la crise lors de la coupe du monde en 2010 avait cependant révélé le
niveau moral et intellectuel de certaines personnalités de ce sport, et les
récentes affaires ou des noms comme BENZEMA, RIBERY, d’autres ont été cités = a
minima laissent planer certains doutes !
Si de par le monde, certaines pratiques fanatiques sont injustifiables et
condamnables, cependant ,on peut comprendre l’interrogation de certains pays en
développement qui cherchent leur voie, lorsque à la tribune de l’ONU, certains
représentants occidentaux font l’apologie du système occidental et de sa
conception des droits humains. D’autant plus, lorsque la connaissance de
pratiques illustrant la dégradation des mœurs et de la justice en ces pays sont
dévoilées.
Lorsqu’il sont adulés, glorifiés, transformés en star d’un sport dont ils
portent par leur nom le culte ;bénéficiant de soutiens :institutionnels et
médiatiques, malgré leur réalité éthique et morale, recevant parfois les plus
hautes distinctions d’Institutions internationales et nationales, ceci alors
que bien des savants ou acteurs de la paix ne reçoivent pas ne bénéficiant que
de leur engagement en conscience ,ils perdent pied avec le réel historique et
ses normes.
Au sujet de la marchandisation extrême des corps et des cœurs, déjà en
1994 le philosophe Lucien SEVE, écrivait dans l’ouvrage (1)
Longtemps seul philosophe du comité consultatif national d’éthique dont le
Président était alors le grand scientifique le Professeur Jean BERNARD, il paya
alors pour sa notoriété, le fait d’être communiste, en un temps ou
l’anticommuniste primaire existait comme existe aujourd’hui un antisémitisme
chez certains, ou une islamophobie débridée. Ses travaux n’ont pas eu la
résonnance qu’ils méritaient. Déjà aux pages 338 et 339 de son essai, il
écrivait parlant de ces pratiques de marchandisation du sport d’élite: »
« Elles présentent plus d’un rapport avec les activités de santé, elles
concernent aussi fort directement le corps humain ;elles sont aussi prises en
main à un point sans précédent par les logiques d’argent, et elles ont le lieu
des plus préoccupantes dégradations sur le rapport avec l’éthique………. » Le
football devient une marchandise certes particulière, mais qui permet de
produire de l’argent et de construire une image ayant des effets financiers
directs et indirects. En même temps, la concurrence entre chaînes de télévision
fait de cet outil markéting une véritable industrie de programmes …. Le
football de haut niveau s’est converti en gisement de programmes et d’audience
:c’est-à-dire un moyen pour la finance et GC ajoute : qui en oriente le sens et
les directions. On voit y compris sur les maillots de joueurs d’une capitale
nationale représentée par un club la publicité d’un pays étranger.
Or, la subordination du faits sportif à la logique industrielle dénature le
jeu, et pourrit les pratiques au point que Jean-François BOURG pose la
question de savoir s’il y a encore compatibilité de l’ éthique sportive avec ce
nouvel ordre économique….Et nous étions en 1994 =aucun amélioration depuis mais
au contraire emprise plus forte de la logique financière sans contraintes
,limites ou encadrement.
Copyright Guy CREQUIE
Ecrivain français –Observateur social
1) Lucien SEVE : Pour une critique de la raison bioéthique –Editions Odile
JACOB - Paris 1994
FOOTBALL MANNERS AND POWER Of the MONEY!
France information announces:
The star of Real Madrid Cristiano Ronaldo and the trainer of Manchester United
Jose Mourinho would have taken part in a “system of tax dissimulation and
bleaching”, shows Friday a consortium of European media, which disputes the
representatives of the two stars. The attacker of Monaco Falcao is also aimed.
Money laundering, tax evasions… When football is shown to benefit from the
dirty money. The superstars of football Cristiano Ronaldo (Real Madrid) and
Jose Mourinho, coach of Manchester United, are shown of tax dissimulation by
twelve European media, in an investigation baptized “Leaks Football” and based
on the escape of 18.6 million documents, on the model of “Panama Papers”.
The publication, ensured by Mediapart (article subscribed) in France, began in
the evening from the Friday, December 2 and will last three weeks. The first
accused, Ronaldo, Mourinho and the attacker of Monaco Radamel Falcao, do all
left the wallet of the super-agent of football, the Portuguese Jorge Mendes,
also blamed and which disputes these charges.
He had seen the blow coming, because he had made publish by Friday morning, via
his company Gestifute, an official statement ensuring that Ronaldo and Mourinho
fully respect “their tax obligations with respect to the Spanish and British
authorities”. Gestifute complained to be questioned in an “insidious” way by a
consortium of media.
A “system of tax dissimulation”
This last, European investigative collaborations, shows Ronaldo, big favorite
for next Gold Ballon, “to have dissimulated 150 million euros in the tax
havens, thanks to assemblies offshore oil rig passing by Switzerland and the
British Virgin Islands”. The documents exploited by the EIC - obtained at the
beginning by the German weekly magazine Der Spiegel - would show how CR7
“boxed, in any discretion, a total of 149.5 million euros of incomes of
sponsoring in tax havens these seven last years”. “On this fortune, the
attacker paid only 5.6 million euros of taxes. That is to say hardly 4%, and
without being continued penally”, the EIC affirms.
(EIC)In addition to Mediapart in France, the project “Leaks Football” gathers
Der Spiegel (Germany), The Sunday Times (the United Kingdom), Expresso
(Portugal), El Mundo (Spain), Espresso (Italy), the Evening (Belgium), NRC
Handelsblad (Netherlands), Politiken (Denmark), Falter (Austria), Newsweek
Serbia (Serbia) and The Black Sea, media on line created by the Rumanian Center
for the journalism of investigation.
According to Mediapart, sixty journalists resulting from twelve newspapers
exploited 1,900 gigabytes of documents for seven months to reveal “Leaks
Football”.
In addition according to France 24:
Since mid-November, several former footballers broke silence and affirmed to be
deceived sexually during their formation, in the years 70-80. Declarations
which plunge English football in a vast scandal of pedophilia.
Consent even of the English Federation of football, it acts of the “greater
crisis” than she knew. Since mid-November, English football is plunged in a
scandal of pedophilia which does the one of the British daily newspapers. In
two weeks, several alleged victims left silence, infiltrating in the breach
opened by the former professional player Andy Woodward, 43 years today, which
very recently entrusted to Guardian on the martyrdom that he had lived in the
Eighties.
(FA)“Until today my life was ruined. But how much others were it? I speak about
these hundreds of children that Barry detected for many clubs”, questioned then
Andy Woodward in the daily newspaper. On the Barry Bennell, dock, British and
detecting trainer of young talents of the balloon recognized in all United
Kingdom. And opposite, an increasingly dense quota footballers, who affirm to
have been victims of sexual abuse of her share.
A multi-recidivist
On the whole, about twenty range, calling into question certain by some known
names in the medium of British football like Steve Walters, 44 year and former
fellow-member of Woodward with Crewe Alexandra - a club pulled by Bennell in
the Eighties - or ex-international David White, 49 year. “Mentally, it
destroyed many young boys”, shows Walters, who explained to Guardian that it
had been victim of abuse between 12 and 14 years.
Barry Bennell, who must appear before the court of Southern Cheshire on
December 14th, trails behind him heavy last. The 62 year old man was already
condemned to four years of prison to have misused a British minor at the time
of a round in Florida in 1994, then also bailed out of sorrow a nine years in
1998, after being recognized guilty of 23 sexual abuses out of six boys. In
2015, he was imprisoned again following an aggression on a minor at the time of
a training course of training in the North-West of England, in Macclesfield.
Again in the storm for two weeks, the old coach has been hospitalized after
being found inanimate, Friday, November 25, in a park close to Stevenage
(Northern of London). And even if the police refused with any comment since,
any door to believe that Bennett, driven back, could have made a suicide
attempt.
But so for fifteen days, Barry Bennett has crystallized the attention, the
pedophilia case which strikes English football takes increasingly consequent
proportions. F, whose president Greg Clarke denounced “odious crimes”,
announced the opening of an investigation and put a dedicated phone-line so
that the footballers victims of sexual abuses can denounce their attackers.
The emerged part of the iceberg
Others, without implying Bennett by name, also found courage to speak. It is
the case in particular of the former player of Tottenham, Liverpool and
Manchester City Paul Stewart. “The mental scars that left me led to alcohol and
drug”, the former player regrets, who reports to have undergone abuses until
the 15 years age. “I want that people realize at which point it is difficult to
tell all that.”
According to the score of testimonies received by the authorities these last
days, at least seven clubs would be directly implied in the scandal. “That
started with Crewe, and that continued in Manchester City, Stoke, Blackpool,
Newcastle, Leeds…”, pays Gordon Taylor, the executive director of the English
Association of the professional footballers (PFA).
Then, Wednesday, November 30, the name of Chelsea FC was added to this
disastrous list. In a long article, Telegraph reveals that the London club
choked a similar scandal by buying the silence of the one of its former
boarders, victim also of sexual abuses in the years 1970. The facts, admitted
by the direction of the Blues, put in charge old “the chief scout” of the club
Eddie Health, since deceased; they would have been occulted in return for a
payment of liquidities during three last years, counterpart of a “agreement of
confidentiality”.
What to feed a little more the thesis according to which the business Bennett
is finally only the immersed part of the iceberg. And Gordon Taylor to
conclude: “Perhaps that considering the extent of the revelations to date, one
will not have to be surprised if other cases are discovered. Now, it is
necessary to wait to see how much players will appear.”
COMMENT OF GUY CREQUIE = observant social to philosophical purpose !
Can some, some, wonder in what this kind of comments has any interest and
relationship with networks of peace and harmony? the answer is that certain
popularized through the media practices in an omnipresent way are a brake with
the clearness of the consciences and orientations of existence supporting the
respect of the human beings and the dignity of the practices for the community
property and the moral health of the people.
Admittedly, cycling, the athletics, and to a lesser extent Rugby and tennis
could be affected by such or such business, but football sport most regularly
practised and popularized through the media crystallizes all excesses of them.
Is France completely saved by this kind of scandal?I am not a journalist or
specialized lawyer. I do not have proven examples, validated concerning such
personality of the sport and like he says himself:without the proof there is
the presumption of innocence “!
However, the crisis at the time of the world cup in 2010 had however revealed
the moral and intellectual level of certain personalities of this sport, and
the recent business or of the names like BENZEMA, RIBERY, others was quoted =
has minimum let plane certain doubts!
So all over the world, some practical fanatics are unjustifiable and
condemnable, however, one can understand the interrogation of certain
developing countries who seek their way, when with the platform of UNO, certain
Western representatives defend the Western system and for its concept of the
human rights. All the more, when the knowledge of practices illustrating the
degradation of manners and justice in these countries are revealed.
When it are adulated, glorified, transformed into star of a sport of which they
carry by their name the worship;profiting from supports:institutional and
media, in spite of their ethical and moral reality, sometimes receiving the
highest distinctions of International institutions and main roads, this whereas
many scientists or actors of peace do not receive profiting only from their
commitment in conscience, they lose foot with the real history and its
standards.
About the extreme marketisation of the bodies and hearts, already in
1994 the philosopher Lucien SAP, wrote in the work (1)
A long time only philosopher of the national advisory committee of ethics whose
President was then the large scientist the Professor Jean BERNARD, it paid then
for his notoriety, the fact of being communist, in a time or the primary
anticommunist existed as exists today an anti-semitism at some, or an unslung
islamophobie. Its work did not have the resonance which they deserved. Already
on pages 338 and 339 of its test, he wrote speaking about these practices of
marketisation of the sport of elite: ”
“They present more than one relationship with the activities of health, they
relate to the human body also extremely directly;they are also taken over at a
point without precedent by money logics, and they take place of most alarming
degradations on the relationship with ethics ..........” football becomes goods
certainly particular, but which make it possible to produce money and to build
an image having direct and indirect financial effects. At the same time,
competition between TV channels makes this tool marketing a true industry of
programs…. High level football was converted into layer of programs and
audience:i.e. a means for finance and GC adds: who directs the direction and
the directions of them. One sees including on the shirts of players of a
national capital represented by a club the publicity of a foreign country.
However, the subordination of the facts sportsman to industrial logic denatures
the play, and rots the practices so much so that Jean-François BOROUGH asks the
question of knowing if there is still compatibility of sporting ethics with
this new economic order….And we were in 1994 =aucun improvement since but on
the contrary stronger influence of financial logic without constraints, limits
or framing.
Copyright Guy CREQUIE
French writer - social Observer
1) Lucien SEVE: For a criticism of the reason bioethics - Editions Odile Jacob
- Paris 1994
