De : Guy Crequie [mailto:guy.crequie@xxxxxxxxxx] Envoyé : mercredi 17 décembre 2014 21:50 Objet : VERS UNE NORMALISATION DES RELATIONS :USA CUBA ET LA SITUATION ECONOMIQUE EN RUSSIE ! VERS UNE NORMALISATION DES RELATIONS : USA CUBA ET LA SITUATION ECONOMIQUE EN RUSSIE ! C'est un tournant historique dans les relations entre les Etats-Unis et le régime communiste de Cuba. Après la libération d'un Américain détenu depuis cinq ans à La Havane, Barack Obama annonce, mercredi 17 décembre, qu'il veut examiner avec le Congrès américain la levée de l'embargo. Barack Obama a annoncé avoir demandé au secrétaire d'Etat John Kerry d'engager des discussions avec Cuba sur une normalisation des relations diplomatiques. Dans une allocution télévisée, le président américain a reconnu que la politique "rigide" menée par Washington à l'égard de Cuba ces dernières décennies avait eu peu d'impact. "Je pense que nous pouvons aider davantage les Cubains" en discutant avec le gouvernement de La Havane, a estimé le président américain. Barack Obama a également lancé : "Todos somos americanos" ("Nous sommes tous Américains"). Il a pu discuter au téléphone avec le dirigeant cubain Raoul Castro mardi 16 décembre, selon un responsable américain. Les Etats-Unis et Cuba n'ont plus de relations diplomatiques officielles depuis 1961. Une source au sein du Congrès américain avait évoqué l'hypothèse d'une levée, au moins partielle, de l'embargo américain contre Cuba, mis en place en février 1962. Les Etats-Unis envisagent aussi de rouvrir leur ambassade à La Havane, dans les prochains mois. Le pape François a joué un rôle crucial dans ce rapprochement historique, affirme un responsable américain. Ce accord a abouti après "18 mois de discussions secrètes, organisées au Canada et encouragé par le pape François, qui a mis en place une dernière rencontre au Vatican", explique le New York Times (en anglais). Le pape a salué une "décision historique" et fait part de sa "grande satisfaction". Cependant dautres dirigeants religieux de façon plus discrète ces dernières années avaient appelé à cette reprise des relations. Je pense par exemple au dirigeant bouddhiste Daisaku IKEDA Président de la SGI lors de sa visite à Cuba et rendant hommage à Jose MARTI. Après cinq ans de prison à Cuba, l'Américain Alan Gross a été libéré pour des raisons humanitaires contre la libération de trois Cubains, a indiqué mercredi un responsable américain. Le gouvernement cubain aurait aussi accepté de libérer 53 détenus politiques, selon un haut responsable américain, cité par l'agence Reuters. Cuba, nest plus un danger pour les Etats-Unis, il faut rapidement stopper lembargo qui pénalise lîle et que les 2 pays comme tout le monde occidental reprennent des discussions pour des échanges approfondis en matière économique, politique et culturel Relativement à lindustrie du cinéma, à lathlétisme, à la musique .. Cuba reste un pays qui peut apporter toute sa créativité aux échanges internationaux dans le respect de la réalité de systèmes politiques différents. EN RUSSIE Les files d'attente devant les bureaux de change se multiplient ce mercredi à Moscou. Menacés par une très grave crise monétaire, les Russes espèrent pouvoir sauver le reste de leurs économies en transformant vite leurs roubles en une devise étrangère plus stable, avant que la leur ne s'effondre véritablement. Côté occident, l'Europe et les Etats-Unis observent avec attention cette situation et se tiennent prêts à contrer une éventuelle contagion. Certains gros acteurs de l'économie mondiale ont même déjà pris des précautions, à l'image de la marque Apple qui a suspendu ses ventes en ligne dans le pays à cause des «fluctuations extrêmes» de la monnaie russe. Chute de plus de 20%. Avec la dégringolade des recettes pétrolières, la valeur du rouble sur le marché fait en effet les montagnes russes. Après un lundi marqué par une chute de 9,5% sans précédent depuis la crise financière de 1998, la monnaie de Poutine a plongé de plus de 20% dans l'après-midi de mardi. L'euro a touché le seuil inimaginable de 100 roubles et le dollar 80 roubles, avant un rebond autour de 90 roubles pour un euro et 72 roubles pour un dollar. Ce mercredi encore, la Bourse de Moscou enregistrait une baisse de 3%, avant de remonter de nouveau. Depuis le début de l'année, le rouble a perdu au total près de 60% de sa valeur face au dollar. L'indice moscovite RTS a chuté de 12%, à son plus bas niveau depuis 2009, au point de donner des sueurs froides à Wall Street qui a ouvert en baisse mardi avant de se reprendre. Flambée des prix. La situation pourrait donc très vite devenir invivable pour la population. La hausse des prix approche déjà de 10% sur un an et promet de s'envoler encore. Les autorités ont vu ces derniers jours réapparaître les étiquettes en devises étrangères dans certains magasins, fréquentes dans les années 1990. Des produits alimentaires de base sont en train de se transformer en produits de luxe ! Medvedev rejette toute «régulation excessive» du marché. Après avoir dirigé une réunion d'urgence avec ses ministres du secteur économique et les patrons des grands groupes exportateurs, Dmitri Medvedev, le chef du gouvernement, a rejeté toute «régulation excessivement stricte» du marché, qui selon lui «ne mènera à rien de bon». «Le pays dispose des ressources monétaires nécessaires pour atteindre ses objectifs économiques», a-t-il assuré. «Il a aussi les instruments de marché indispensables pour garantir la demande correspondante.» Poutine sous pression. Cette dangereuse spirale semble par ailleurs difficile à stopper malgré les mesures radicales adoptées mardi pour enrayer l'effondrement du rouble. De quoi mettre en lumière l'impuissance du président Vladimir Poutine qui, en quinze ans à la tête de la Russie, n'a jamais géré une crise comparable. Alors que la population s'affole et fait la queue devant les bureaux de change, lui n'a toujours pas pris la parole. Il est également possible qu'il attende jeudi pour s'exprimer, lors d'une conférence de presse traditionnelle. La Russie est très tributaire de ses exportations de pétrole et de Gaz qui rendent sa balance commerciale excédentaire, le pays souffre des mesures économiques coercitives prises par les pays occidentaux. Cependant , affaiblir la Russie ne serait profitable à personne ! Noublions pas le rôle que le pays peut tenir avec LIran et pour un règlement politique au dossier syrien entre autres sujets. Guy CREQUIE écrivain français observateur social Messager de la culture de la paix de lUNESCO TOWARDS A STANDARDIZATION OF THE RELATIONS: THE USA - CUBA AND THE ECONOMIC SITUATION IN RUSSIA! It is a historical turning point in the relations between the United States and the Communist regime of Cuba. After the release of an American held for five years with Havana, Barack Obama has announced, Wednesday, December 17, which he wants to examine with the American Congress the lifting of the embargo. Barack Obama announced to have asked the Secretary of State John Kerry to engage of the discussions with Cuba on a standardization of the diplomatic relations. In a short televised speech, the US president recognized that the rigid policy carried out by Washington with regard to Cuba these last decades had had little impact. I think that we can more help the Cubans while discussing with the government of Havana, the US president estimated. Barack Obama also launched: Todos somos americanos (We all are American). He could discuss on the telephone with the cuban leader Raoul Castro Tuesday, December 16, according to an American official. The United States and Cuba do not have any more official diplomatic relations since 1961. A source within the American Congress had evoked the assumption of a lifting, at least partial, American embargo against Cuba, set up in February 1962. The United States also plans to reopen their embassy with Havana, in the next months. The pope François played a crucial role in this historical bringing together, affirms an American official. This agreement led after 18 months of secret discussions, organized in Canada and encouraged by the pope Francois, who set up a last meeting at the Vatican, explains New York Times (in English). The pope greeted a historic decision and fact share of his great satisfaction. However other religious leaders in a more discrete way these last years had called with this resumption of the relations. I think for example of the Buddhist leader Daisaku IKEDA President of the SGI at the time of his visit in Cuba and paying homage to Jose MARTI. After five years of prison in Cuba, the American Alan Gross was released for humane reasons against the release of three Cubans, indicated an American official Wednesday. The cuban government would have also agreed to release 53 political prisoners, according to one high ranking official American, quoted by the agency Reuters. Cuba, is not any more one danger to the United States, it is quickly necessary to stop the embargo which penalizes the island and which the 2 Western countries as everyone take again of the discussions for exchanges deepened out of economic material, policy and cultural Compared to the industry of the cinema, with the athletics, the music ........... Cuba remains a country which can bring all its creativity to the international exchanges in the respect of the reality of different political systems. IN RUSSIA : The queues in front of the bureau de change multiply this Wednesday in Moscow. Threatened by very a monetary serious attack, the Russians hope to be able to save the remainder of their economies by quickly transforming their roubles into a more stable foreign currency, before theirs crumbles truly. Side occident, Europe and the United States observe with attention this situation and are held ready to counter a possible contagion. Certain large actors of the worldwide economy even already took precautions, with the public image Apple which suspended its sales on line in the country because of extreme fluctuations of the Russian currency. Fall of more than 20%. With the tumble of the oil revenues, the value of the rouble on the market makes the Russian mountains indeed. After Monday marked by a fall of 9.5% without precedent since the financial crisis of 1998, the currency of Putin plunged of more than 20% in the afternoon of Tuesday. The euro touched the unimaginable threshold of 100 roubles and the dollar 80 roubles, before a rebound around 90 roubles for one euro and 72 roubles for a dollar. This Wednesday still, Moscow Stock Exchange recorded a fall of 3%, before going up again. Since the beginning of the year, the rouble lost on the whole nearly 60% of its value vis-a-vis the dollar. Muscovite index RTS fell of 12%, on its low level since 2009, the point to give cold sweats to Wall Street which opened in fall Tuesday before beginning again itself. Soaring prices. The situation could thus very quickly become intolerable for the population. Rise in prices approaches 10% already over one year and promises to still fly away. The authorities saw these last days reappearing the labels in foreign currencies in certain stores, frequent in the years 1990. Basic food substances are transforming itself into luxury items! Medvedev rejects all excessive regulation of the market. After having directed an emergency meeting with its Ministers for the economic sector and the owners of the large exporting groups, Dmitri Medvedev, the chief of the government, all excessively strict regulation of the market rejected, which according to him will not lead to nothing good. The country has the monetary resources necessary to achieve its economic goals, he ensured. It has also the essential instruments of market to guarantee the corresponding request. Putin under pressure. This dangerous spiral in addition seems difficult to stop in spite of the radical measures adopted Tuesday to stop the collapse of the rouble. What to clarify the impotence of president Vladimir Putin who, in fifteen years in charge of Russia, never managed a comparable crisis. Whereas the population panics and makes the tail in front of the bureau de change, still did not take the floor to him. It is also possible that it waits Thursday to be expressed, at the time of a traditional press conference. Russia is very dependant on its oil exportations and from Gases which make its trade balance surplus, the country suffers from the coercive economic measures taken by the Western countries. However, to weaken Russia would not be advantageous with anybody! Let us not forget the role that the country can hold with Iran and for a political regulation with the Syrian file inter alia subjects. Guy CREQUIE social observant French writer Messenger of the culture of the peace of UNESCO