[OLplus] /PRESSE/Crise à l'OL : quelles sont les raisons et comment s'en sortir ? (Café du Commerce)

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  • Date: Tue, 6 Oct 2020 22:38:22 +0200 (CEST)

Crise à l'OL : quelles sont les raisons et comment s'en sortir ?
par joh

Après le match nul concédé au Groupama Stadium contre l'OM, l'Olympique 
Lyonnais reste sur 5 matchs sans victoire en Ligue 1. Les Gones se retrouvent 
de nouveau en pleine crise sportive. Essayons d'en comprendre la genèse et d'en 
déduire ce que l'OL doit rectifier pour repartir de l'avant.



Un an après la désillusion Sylvinho, l’Olympique Lyonnais se retrouve une 
nouvelle fois dos au mur avec seulement 7 points en 6 matchs et des concurrents 
qui prennent peu à peu le large. Les Gones espéraient aborder leur saison plus 
sereinement, affranchis de compétition européenne. Si le plus dur arrive pour 
les concurrents français qualifiés en Europe, ce début de saison inquiète 
naturellement les observateurs et les supporters. Rudi Garcia est-il encore 
l’homme de la situation ? Comment la deuxième puissance financière de Ligue 1 
peut-elle se retrouver deux saisons de suite en difficulté ?

Nous allons revenir sur ce qui a fait la gloire du club lors de la dernière 
décennie et comprendre pourquoi le « modèle OL » est en difficulté en 2020.
L’OL grand d’Europe : l’omniprésence de JMA

La capitale des Gaules est connue depuis de nombreuses décennies pour sa 
gastronomie, mais au tout début du XXIème siècle, Lyon a plutôt rimé avec 
football. Sept saisons consécutives durant lesquelles l’OL a privatisé la 
première place du classement de Ligue 1. Mieux, les Lyonnais sont devenus l’une 
des écuries européennes les plus redoutées. Les Galactiques du Real Madrid en 
gardent certainement un très mauvais souvenir.

Jusqu’ici, la ville de Lyon n’était pas une grande place du football français, 
mais l’omniprésence de Jean-Michel Aulas à tous les niveaux du club a permis de 
gagner un temps précieux. À son arrivée à la présidence en 1987, le dirigeant 
natif de l’Arbresle avait immédiatement communiqué son envie de sortir l’OL de 
la D2 et d’emmener son club, en seulement quelques années, en Europe. Son 
ambition, initialement moquée par l’opinion publique, lui aura permis non 
seulement d’atteindre ses objectifs en un temps record mais principalement 
d’aller encore plus loin, plus haut…

Le numéro un de l’Olympique Lyonnais avait identifié de nombreuses opportunités 
sur un marché (le football) encore peu mature. Comme il l’avait été quelques 
années auparavant avec CEGID, Jean-Michel a été précurseur avec un modèle 
économique qui a inspiré bon nombre de clubs européens. La stratégie était de 
rendre le club rhodanien le moins dépendant possible des résultats sportifs. En 
investissant pour accroître ses ressources internes – avec le centre de 
formation par exemple –, l’OL est devenu un club de plus en plus auto-suffisant 
avec une excellente connaissance du marché du football. Jean-Michel Aulas avait 
un temps d’avance sur les autres dirigeants français, l'hégémonie lyonnaise 
n’était finalement pas si surprenante, tant le dirigeant lyonnais maîtrisait 
son sujet. Mais pour en arriver là, son omniprésence a été d’une importance 
capitale pour s’assurer que le club ne dévie pas de son objectif.

Jean-Michel Aulas omniprésent à l'OL
Fin de l’hégémonie lyonnaise

Chaque bonne chose a une fin et après un renouvellement de l’effectif avec des 
départs importants comme celui de Karim Benzema ou encore celui de la légende 
Juninho, l'OL doit se réinventer. Le club rhodanien a alors misé sur Claude 
Puel en 2009 pour prendre la relève et a fait le choix de construire autour de 
lui. L’OL investit 110 millions d'euros sur le marché des transferts lors des 
deux premières saisons avec l’ancien coach lillois sur le banc. Si l’OL est de 
loin la plus grosse puissance financière de L1 durant cette période, le club 
sera seulement dauphin de l’OM à l'issue de la saison 2009-10. Les Gones se 
retrouveront au pied du podium la saison suivante avant de sortir du Top 3 lors 
de la dernière saison de l’ère Puel. À son apogée sur le plan économique à 
l’arrivée de Claude Puel, c’est finalement à ce moment que l’OL rentre dans le 
rang sportivement. De quoi donner quelques regrets à Jean-Michel Aulas d’avoir 
cédé une liberté tro
 p importante à l’actuel technicien des Verts.

Dans cet élan économique, Jean-Michel avait également enclenché le projet de 
construction du Grand Stade afin de faire passer un nouveau cap à son club. 
Être propriétaire de son club et jouir de 100% de ses recettes, dans la 
continuité de la volonté d’accroître les ressources internes et dépendre un 
minimum des résultats sportifs. L’échec Puel n’a certes pas remis en question 
ce projet mais aurait pu l’accompagner avec une meilleure dynamique et avec 
moins d’incertitudes économiques.
Le football arrivé à maturité

Mais dans le même temps, le football est en pleine métamorphose. La période 
2006-10 coïncide avec l’émergence des nouvelles technologies, du web et de la 
data dans notre société. Cela a engendré l'apparition de nouveaux outils pour 
permettre aux dirigeants, coachs et staffs de mieux analyser et comprendre le 
football. En seulement quelques années, le football bascule dans un univers où 
il est possible de pousser plus loin l’analyse de ce sport et s’affranchir des 
limites de « l’œil humain ». 

Txiki Begiristain incarne parfaitement cette nouvelle ère. Nommé directeur 
sportif du FC Barcelone en 2003 à seulement 39 ans (associé à Joan Laporta), il 
avait un œil neuf sur le football et était proche de nombreux analystes du 
beautiful game. C’est durant son mandat que le FC Barcelone installe Frank 
Rijkaard puis Pep Guardiola sur le banc. Le club catalan sera alors à son 
apogée, remportant les titres les plus prestigieux. Begiristain quitte la 
Catalogne en 2010 et rejoint Manchester City en 2012 où il parviendra à attirer 
de nouveau Pep Guardiola quelques années plus tard. Il ne serait pas honnête 
d’attribuer entièrement la réussite du club catalan et du club mancunien à 
Txiki, mais il est intéressant d’analyser la gestion sportive de ces deux clubs 
: sans et avec Begiristain. Il a le mérite d'avoir identifié et activé les 
leviers de performances du football de demain.

Si certains clubs ont bien négocié ce virage à 90 degrés, ce n’est pas le cas 
de l’Olympique Lyonnais qui ne semble pas avoir remarqué la mutation soudaine. 
Cette révolution sur le marché du football nécessite la nomination de nombreux 
experts sur chaque pôle afin d'optimiser les chances de réussite. Comment 
imaginer que la fonction de directeur sportif soit occupée par une personne 
n’ayant pas conscience de la métamorphose de ce sport ? Comment accepter que le 
coach en place ne s’intéresse pas aux nouveaux courants de pensées ? Ces 
nouvelles opportunités ont incité les clubs à déléguer davantage, rendant 
l’omniprésence de certains dirigeants beaucoup moins légitime.

Mais à l'OL au contraire, la mauvaise expérience avec Claude Puel a conforté 
Jean-Michel Aulas dans l’idée de garder la main sur le sportif. Le président 
lyonnais était logiquement focalisé sur le Grand Stade et ce projet de grande 
ampleur a peut-être détourné l’OL des autres enjeux importants. Il n’est pas 
question de remettre en cause le projet du Parc OL qui est un modèle en France, 
voire en Europe, mais plutôt de réaliser que l’OL n’a pas su surfer sur la 
bonne vague pour pérenniser ses résultats sportifs.
Gestion sportive : navigation à vue

La période post-titres sera marquée de nouveau par l’absence de directeur 
sportif. Jean-Michel Aulas compte toujours sur Bernard Lacombe puis Gérard 
Houllier pour le conseiller dans les choix stratégiques à prendre dans le 
domaine sportif. Mais cette organisation semble vieillissante au moment où le 
football est en train de changer de dimension. Bernard Lacombe est plutôt 
présent pour affirmer l’identité lyonnaise que pour importer de nouvelles idées 
ou pensées. De son côté, Gérard Houllier, conseiller extérieur depuis 2016, est 
justement celui qui devait apporter une vision extérieure. Si son rôle reste 
jusqu’ici assez flou, souvent sondé lorsqu’il faut changer d’entraîneur, son 
avis est néanmoins très considéré par Jean-Michel Aulas. Mais l’ancien coach de 
l’OL entre 2005 et 2007 est en parallèle directeur mondial de la branche 
football du groupe Red Bull et n’a guère le temps de développer une politique 
sportive à l’Olympique Lyonnais.

L’absence d’un maillon dans l’organigramme sportif qui s’apparente au directeur 
sportif est « compensé » par l’omniprésence de Jean-Michel Aulas, mais aussi 
par la promotion officieuse de Florian Maurice, responsable du recrutement. Ce 
dernier devient le principal décisionnaire sur le recrutement du club. À titre 
d'exemple, Bruno Genesio, qui définissait des besoins très sommaires, avait 
finalement un impact très relatif sur le choix des joueurs. La liberté de 
Florian Maurice lui a permis d’effectuer un recrutement opportuniste. Mais 
rétrospectivement, les observateurs ont souvent fait le constat que l’effectif 
présentait des défauts dans sa construction. On notera par exemple l’absence 
d’ailiers de métier depuis de nombreuses saisons. Malgré cette prise de 
responsabilité, Florian Maurice ne sera pas parvenu à définir une réelle ligne 
directrice dans le recrutement de l’OL.

Si l’OL a connu des performances sportives en dents de scie au cours des 
dernières saisons, il est difficile de ne pas accabler le flou sportif qui 
règne à l’Olympique Lyonnais.
Juninho, des débuts difficiles...

À l’issue de la saison 2018-19, Juninho fait son grand retour chez le septuple 
champion de France au poste de directeur sportif. Un choix très symbolique de 
créer un nouveau poste stratégique pour la légende du club. Si cela prédisait 
une révolution entre Rhône et Saône, la suite n’a pas été à la hauteur de 
l’engouement généré chez les supporters. Sylvinho remercié après seulement 10 
journées, Rudi Garcia désormais dans la tourmente après 6 journées. Si le 
surprenant parcours en Ligue des Champions a fait office d’éclaircie, les 
orages n’ont pas tardé à faire leur retour dès le début de saison 2020-21.

En apparence, il pourrait être tentant de mettre la responsabilité sur le 
directeur sportif brésilien dont l'arrivée coïncide avec l’effondrement de 
l’équipe au classement du championnat de France. Mais contrairement à ce que 
communique l’Olympique Lyonnais, les décisions sur le sportif ne sont pas 
prises uniquement par Juninho. En effet, selon nos informations, Gérard 
Houllier (conseiller externe) a une influence non négligeable dans le processus 
de décision chez les résidents de Décines. Il est notamment derrière les 
recrutements de Rudi Garcia ou encore de Bruno Cheyrou, pourtant attribués à 
Juninho officiellement. Si l’ancien manager de Liverpool n’exerce pas une 
autorité directe sur le Brésilien, il est l’homme de confiance de Jean-Michel 
Aulas. Et jusqu’à aujourd’hui, l’opinion de Gérard Houllier avait tendance à 
primer sur celle de Juninho.

On notera l’impossibilité pour le directeur sportif de faire venir un 
technicien accompagné d’un staff d’au moins quatre ou cinq éléments. Et s'il en 
avait eu la possibilité, croire que Sylvinho n'aurait pas été l'élu ne serait 
pas insensé. La légende du coup-franc se voit confrontée à une organisation 
déjà en place qui ne l’a initialement pas fait venir pour bouleverser le 
processus décisionnel sur les aspects les plus stratégiques. Néanmoins, après 
le départ de Florian Maurice, Juninho est parvenu à prendre la main sur le 
recrutement, bien que le trio Houllier-Cheyrou-Garcia essaye de tirer la 
couverture de son côté. La réussite Bruno Guimarães a sans doute été une 
immense bouffée d’oxygène pour l’ex-international auriverde, qui a pu démontrer 
ses connaissances footballistiques et faire le plein de confiance à un moment 
où il avait été affaibli.

Jean-Michel Aulas, Juninho et Gérard Houllier (photo Le Progrès / Stéphane 
Guiochon)
Bientôt plus de pouvoir pour Juninho ?

Malgré le contexte sportif difficile, il y a quelques signes d’espoir. L’OL a 
fait en sorte que l’ensemble de son staff soit en fin de contrat le 30 juin 
2021. Pure coïncidence ? Peu probable, puisque Christophe Revel (entraîneur des 
gardiens), dernier arrivé en succédant à Grégory Coupet, n’a pu parapher qu’un 
contrat d’un peu plus d’un an. À neuf mois de cette échéance, cela ouvre la 
possibilité qu’un coach puisse arriver la saison prochaine avec un staff 
complet. À condition que Rudi Garcia ne soit pas prolongé. Mais cette 
éventualité serait déjà écartée comme le révélait L’Equipe dernièrement. Il y a 
peu de doutes sur le fait que ce soit Juninho qui ait orchestré cela. Peu de 
temps avant le licenciement de Sylvinho, le directeur sportif avait pointé du 
doigt la passivité du staff. Gérald Baticle, Claudio Caçapa ou encore Grégory 
Coupet étaient pointés du doigt. Mais à l’inverse de l’entraîneur brésilien, 
ils avaient conservé
  leur poste. À l’exception de Coupet, qui n’a pas été renouvelé en juin 
dernier.

Juninho n'a peut-être jamais eu autant de légitimité qu’aujourd’hui. Parce 
qu’en interne, tout le monde sait que l’échec Rudi Garcia est à attribuer à 
Gérard Houllier. Juninho, Florian Maurice ou encore Vincent Ponsot étaient 
quant à eux réfractaires à cette idée. Mais l’influence du conseiller extérieur 
ainsi que les contraintes posées initialement ont fait pencher la balance par 
défaut du côté de l’ancien coach de l’OM. Bruno Cheyrou, quant à lui, est déjà 
une déception. Il lui est reproché son sérieux et son manque de dialogue avec 
Juninho avant de creuser certaines pistes. Et c’est une fois de plus Gérard 
Houllier qui est à l’initiative de la nomination du responsable du recrutement. 
L’Equipe révélait ces derniers jours que Juninho avait une préférence pour 
Patrick Müller, son ancien coéquipier.

Le directeur sportif brésilien a également le soutien des supporters. Et 
Jean-Michel Aulas l’a bien compris. Si les supporters usent de tant de patience 
avec le club, c’est en grande partie parce que la légende du club occupe un 
poste stratégique dans l’organigramme sportif. Au moment où l’OL doit anticiper 
la saison prochaine, le président lyonnais va devoir trancher et il serait 
souhaitable qu’il renforce son directeur sportif.
Comment préparer l’avenir ?

Après un nouveau match nul contre l'Olympique de Marseille, la légitimité de 
Rudi Garcia est plus que jamais remise en question. Et si le tacticien ne 
parvient pas à remettre l’OL sur les rails très vite, nul doute que le board 
sera poussé à prendre une décision radicale. L’hypothèse dans laquelle l’ancien 
coach de la Roma serait remercié provoquerait un nouveau casse-tête du côté de 
Décines. Pour rappel, le staff sera en fin de contrat seulement à l’issue de la 
saison, il serait alors difficile de confier le banc à un coach désireux de 
venir avec un staff suffisamment conséquent.

Juninho semble également déterminé à faire venir un coach prônant une 
philosophie plus offensive que ces prédécesseurs. L’Equipe révélait ces 
derniers jours son envie d’attirer Jorge Sampaoli, l’actuel entraîneur de 
l’Atletico Mineiro. Son attrait pour le tacticien argentin ne date pas d’hier, 
déjà en 2012, il conseillait à Vasco de Gama de l’enrôler « Je suis totalement 
pour (recruter un entraîneur étranger). Assez de ces clubs fermés, nous devons 
laisser la place au mérite. J'ai proposé Sampaoli à Vasco alors qu'il était à 
l'Universidad de Chile et gagnait moins de 30K$/mois. Maintenant, il est 
sélectionneur du Chili…». Il y a huit ans, l’ancien numéro 8 lyonnais 
souhaitait déjà faire évoluer les mentalités dans son club au Brésil où le 
conservatisme prenait le dessus sur le reste.

Il est prématuré d’envisager que Juninho réussisse à faire venir celui qu’on 
surnomme le « disciple de Bielsa », mais cette simple volonté nous permet de 
faire une connexion immédiate avec les travaux menés au sein du centre de 
formation. La cellule méthodologique initiée par Jean-François Vulliez et 
développée par Amaury Barlet, Pierre Sage ou encore Jérémie Brechet notamment, 
repose sur une philosophie proche de celle de Sampaoli : le jeu de position. Ce 
style de jeu est devenu la grande tendance du football moderne. Le principe est 
de réduire l’aléa dans le foot, en générant des supériorités à plusieurs 
niveaux, dans l’optique de déséquilibrer l’adversaire. Dans la pratique, ça 
s’apparente souvent à une équipe très haute sur le terrain et qui presse dès la 
perte du ballon. Opter pour un entraîneur prônant le jeu de position serait 
dans la continuité de ce qui est entrepris à l’académie. Et lorsqu'on sait que 
la formation est dans l'
 ADN du club, cela serait fort de sens d'associer à l'OL un football où 
l'équipe est protagoniste dans le jeu.

En attendant, il n'est pas à écarter que le changement d'entraîneur puisse 
survenir en cours de saison, si Rudi Garcia ne parvient à retourner la 
situation rapidement. Il serait prévisible que la piste Laurent Blanc remonte à 
la surface, Jean-Michel Aulas n'a jamais caché son estime pour l'ancien 
sélectionneur des Bleus. De même pour Lucien Favre qui plait beaucoup à l'OL, 
bien que le Suisse soit toujours en poste à Dortmund. Marcelo Gallardo, quant à 
lui, avait déjà été envisagé par le président lyonnais par le passé, mais il ne 
semble pas pressé de lancer sa carrière en Europe. Une solution intérimaire 
pourrait également être envisagée. Si Gérald Baticle ne semble pas être le 
candidat idéal, le club rhodanien pourrait lui confier les clés quelques temps 
sous le contrôle de Juninho, afin de laisser du temps aux dirigeants pour 
trouver une solution. Rappelons que lors de la saison 2015-16, le licenciement 
d'Hubert Fournier au profit de Bruno Genesio avai
 t permis de libérer le groupe et décrocher une deuxième place en Ligue 1. L'OL 
pourrait aussi pousser la réflexion sur une mutation interne pour dépanner 
jusqu'à la fin de la saison. Un retour de Rémi Garde semble lui peu probable, 
mais son profil serait intéressant pour une opération commando où il faudra 
composer avec de nombreux jeunes !

Il existe de nombreux scénarios, mais l'OL ne devra pas se tromper cette 
fois-ci. Il faudra prendre des décisions qui permettront de remonter au 
classement tout en préparant l'avenir. Cela nous assure des prochaines semaines 
mouvementées. La trêve internationale d'octobre sera peut-être de nouveau le 
théâtre d'un bouleversement dans l'organigramme sportif...

Source Café Du Commerce : 
https://olplus.fr/Y2JVt
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