Dear Ammar, my great friend and brother I am very concerned about what your coments on your health. I think about you a lot and, I'm sure you'll soon be recovered. Anyway, I am ready to help in whatever you consider necessary. Receive a huge hug Ernesto Kahan Dear friends for harmony and peace “During the last millennium, mankind found in the arms the technological answer for the solution of the human conflicts. Now, the humanity must find a human answer to the danger of extinction by the arms” E. Kahan 1998. Professor Ammar Banni is the best example for such an answer. He is a professor in education, writer and, one of the most outstanding friends and intellectual. He is a light to everyone who is in touch with him. Ernesto Prof. Emeritus Dr. Ernesto Kahan MD University Professor - Poet – Physician Tel Aviv University, Israel. Academician - International Academy of Sciences, Technology, Education and Humanities (AICTEH) - Spain 1st Vice President - World Academy of Arts and Culture USA Former Vice President of IPPNW (Association awarded the Nobel Peace Prize) and the actual president of the Israeli Branch Vice President Intl Forum for Literature and Culture of Peace (IFLAC) Co-President -UHE- International Union of Hispano-American Writers GHA World Harmony Creator and Vice Chair. Global Harmony Association (GHA). -------------------------------------------------------------------------------- To: gha@xxxxxxxxxxxxx; PeaceForum@xxxxxxxxxxxxxxx; IFLAC@xxxxxxxxxxxxxxx CC: ekahan@xxxxxxxxxxxxxx; lanayang@xxxxxxx From: ammarbanni@xxxxxxxx Date: Thu, 22 Aug 2013 17:37:59 +0100 Subject: [PeaceForum] Re: [gha] TR: PROBLEMATIQUES SOCIETALES DE NOTRE TEMPS ! Dear Sisters, Brothers, Friends, Colleagues I was away and I will be absent because of my illness! My health does not allow me to continue any physical or mental activity. I suffer from heart disease and doctors did not understand the exact cause! Foundation paying my care in Paris, interrupted this support, I am back from Paris on August 16th .The cardiologies services in Algeria are unable to Treat my heart I call for to find a support organization and find a good cardiologist in the world. With Love,peace. Ammar Banni/Professor of education http://arabianpeople.blogspot.com/2010/09/ammar-banni-poete-algerien-ambassadeur_12.html -------------------------------------------------------------------------------- De : Guy CREQUIE <guy.crequie@xxxxxxxxxx> À : gha@xxxxxxxxxxxxx; PeaceForum@xxxxxxxxxxxxxxx; Peace and Conflict Studies Center (PCS Center) <cscenter1.nepal@xxxxxxxxx>; MANAVATAVADI-GROUP@xxxxxxxxxxxxxxx; univ.ambassadorpeacecircle@xxxxxxxxx; uni.alli@xxxxxxxxxxxxxx; globalcommunity@xxxxxxxxx; globalleaders@xxxxxxxxx; decade@xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Cc : roberts_susana@xxxxxxxxxxx; ekahan@xxxxxxxxxxxxxx; carmencuphi3losangeles@xxxxxxxxx; 'Joseph Berolo' <berolojoseph@xxxxxxxxx>; elizabethleyvarivera@xxxxxxxxxxx; 'Carlos Garrido chalen' <manases.manases@xxxxxxxxxxx>; milagroshernandez@xxxxxxxxx; 'Milagros Coromoto Hernandez Chiliberti' <milagros_ingenieradesuenos@xxxxxxxxxxx>; azconacristina@xxxxxxxxxxx; bilingualmca@xxxxxxxxxxx; bilingualmca <bilingualmca@xxxxxxxxxxxxxxx>; sipea_csanchez1@xxxxxxxxxxx; 'Ime Bisassoni' <luzylorca@xxxxxxxxxxx> Envoyé le : Jeudi 22 août 2013 9h39 Objet : [gha] TR: PROBLEMATIQUES SOCIETALES DE NOTRE TEMPS ! De : Guy CREQUIE [mailto:guy.crequie@xxxxxxxxx] Envoyé : lundi 19 août 2013 11:33 Objet : PROBLEMATIQUES SOCIETALES DE NOTRE TEMPS ! PROBLEMATIQUES SOCIETALES DE NOTRE TEMPS ! (A propos du droit d’ingérence humanitaire et du droit international !) L’opposition syrienne a accusé la communauté internationale d’être complice, par son silence, de l’attaque « à l’arme chimique » perpétrée selon elle ce mercredi dans une banlieue rebelle de Damas par le régime syrien, avançant le chiffre de plus de 1.300 morts Le système politique international actuel est basé sur la réalité des Etats Nation basée sur la charte des Nations Unies. Avec ce système, dans les instances internationales chaque pays dispose d’une voix. Ce système a ses avantages, cependant, il a un grave inconvénient. Je ne propose pas de créer de nouvelles structures, ni de modifier arbitrairement ce qui existe Je dis simplement qu’aujourd’hui au nom du droit au respect de son territoire, celui de frontières juridiques et géographiques, en toute impunité des Dictateurs ou des groupes extrémistes peuvent en toute impunité :arrêter, détenir, torturer, assassiner, ou utiliser collectivement la force des armes, par l’armée, la police, ou des milices pour réprimer telle ethnie, voire tout un peuple, et ceci au nom de sa légitimité territoriale, ethnique ou théologique. N’est-il pas temps : de considérer l’universalisme moral kantien du respect du droit à la dignité de la vie, de traiter l’être humain comme une fin = principe qui est au-delà de considérations juridiques en cours. N’oublions pas les mises en garde de Jean-Jacques ROUSSEAU. Que faudrait-il faire ? Déjà, donner davantage de moyens à l’organisme de la gouvernance mondiale : l’ONU ! Lors du sommet du millénaire en septembre 2000, le Secrétaire général de l’ONU de l’époque Kofi ANNAN, indiquait que l’Institution n’avait bénéficié que de 0,5% de la somme des 800 milliards de dollars que les Etats membres avaient dépensé pour leur défense nationale. A ceci, comme auteur, j’ajoute les 734 milliards estimés pour la vente d’armes illicites (chiffre indiqué par le représentant d’un Etat africain) lors du sommet pour la terre organisé en 2002 à Lyon par Messieurs GORBATCHEV et STRONG avec la ville de Lyon. Notre monde s’est doté d’Institutions juridiques internationales pour condamner les Etats ou les personnes lors de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité. Cependant les jugements sont longs, lourds à organiser. Certes la culpabilité n’est démontrée qu’après un jugement. Egalement, la présomption d’innocence et les circonstances atténuantes ont à respecter normalement avant jugement. C’est le fonctionnement logique de la justice déjà violée par des révélations et sentences médiatiques dans certaines situations. Cependant ce principe concerne plus des réalités individuelles que celles de massacres collectifs. Cependant lors de massacres avérés, injustifiables, dans un premier temps, à l’heure de la télévision, d’internet, des satellites et du téléphone portable, des réseaux sociaux, les institutions juridiques mondiales devraient disposer d’un droit d’alerte d’interpellation devant les opinions publiques. Ensuite, il faut casser cette logique rappelée par CLAUSEWITZ, selon laquelle le recours naturel à la guerre est celui de continuer la politique par d’autres moyens. Le Conseil de sécurité de l’ONU devrait être doté de pouvoirs d’intervention supplémentaires : dont celui du droit d’ingérence humanitaire sous certaines conditions précisées après examen par un groupe d’experts juridiques internationaux reconnus. Ceci, afin de faire respecter le droit au respect de la dignité de la vie, de toute vie. En la circonstance, il ne s’agirait pas de faire la guerre, mais de la décourager, en s’interposant, appelant au dialogue, au droit à l’existence en décourageant les velléités de guerre et les atteintes aux droits humains et si cette force de paix est attaquée, elle riposterait avec fermeté et détermination. Le respect des droits humains, de la dignité de toute vie humaine aurait ses conséquences sur celle du respect de toute vie : animale, végétale, minérale…. Si la politique ne le propose pas, c’est à l’écrivain à finalité philosophique à la proposer. Signalons, que la charte des Nations Unies présupposait l’existence d’une communauté mondiale. Cependant la charte contient deux principes contradictoires. D’après l’un des concepts, les éléments constitutifs sont les Etats, l’autre est axé sur l’être humain en tant qu’individu. Or, dans la structure de l’organisation des Nations Unies le premier concept prédomine et s’illustre par des procédures évidentes.la tâche de l’organisation d’imposer des limitations et des contraintes aux Etats s’avère compliquée dans la mesure où les Etats sont maîtres de leurs décisions. Les Etats répugnent à se fixer eux-mêmes leurs propres exigences dans le respect des devoirs. Cette réalité a son incidence dans maintes décisions. Alors que nos élus politiques, les médias ne cessent d’appeler à la mobilisation citoyenne, un citoyen engagé de façon innovante pour la culture et la paix reçoit le plus souvent cette réponse hallucinante des Institutions et collectivités territoriales : seules et sous certaines conditions les associations et ONG peuvent être aidées, mais pas un projet individuel même innovant ! Tout aussi inquiétant : Comme l’a mentionné un juriste :Frédéric SUDRE, dans un essai de plus de 800 pages consacré au droit européen et international des droits humains, actuellement le droit international a été incapable de donner une définition précise du concept de peuple. Quant au droit à la vie = il reste incertain, ceci, car si les textes internationaux énoncent le droit à la vie, ils ne définissent pas la vie ! Pour ma part, j’ai donné ma définition de ces 2 exigences dans mon ouvrage. (1) Copyright Guy CREQUIE Ecrivain français à finalité philosophique Messager de la paix de l’UNESCO Médaillé d’or de la société académique française –Arts-Sciences-lettres » Lauréat de l’Académie Européenne des arts Docteur Honoris Causa de l’Académie mondiale de la culture et des arts Représentant français d’ONG internationales de paix et d’harmonie (1) Guy CREQUIE « Réconcilier les droits et les devoirs pour l’avenir de l’humanité « -Editions de Saint-Amans 2010, puis Editions Universitaires Européennes 2011, et plus récemment de »Chroniques sur le monde et enjeux planétaires « (2) -Editions Edilivre Paris- 2013 PROBLEMS SOCIETALES OF OUR TIME! (In connection with the right of interference humane and the international law!) The Syrian opposition showed the international community to be accessory, by its silence, of the attack “to the chemical weapon” perpetrated according to it this Wednesday in rebellious suburbs of Damas by the Syrian mode, advancing the figure of more than 1,300 deaths The current international political system is based on the reality of the States Nation based on the United Nations Charter. With this system, in the international authorities each country has a voice. This system has its advantages, however, it has a serious disadvantage. I do not propose to create new structures, nor to modify arbitrarily what exists I say simply that today in the name of the right to the respect of its territory, that of legal and geographical borders, in all impunity of the Dictators or the groups extremists can in all impunity:to stop, hold, torture, assassinate, or use the force of the weapons collectively, by the army, the police, or of the militia to repress such ethnos group, even a whole people, and this in the name of his territorial, ethnic or theological legitimacy. It is not time: to consider the Kantian moral universalism of the respect of the right to dignity of the life, to treat the human being as an end = principle which is beyond legal considerations in progress. Let us not forget the warning statements of Jean-Jacques Rousseau. What would be necessary to make? Already, to give more means to the organization of the world governance: UNO! At the time of the top of the millenium in September 2000, the General secretary of UNO of the time Kofi Annan, indicated that the Institution had profited only from 0.5% of the sum of the 800 billion dollars which the Member States had spent for their national defense. With this, as author, I add the 734 billion estimated for the sale illicit weapons (figure indicated by the representative of a African State) at the time of the top for the ground organized in 2002 to Lyon by Sirs GORBATCHEV and STRONG with the town of Lyon. Our world obtained international legal Institutions to condemn the States or the people at the time of crime or war crimes against humanity. However the judgments are long, heavy to organize. Admittedly the culpability is shown only after one judgment. Also, the presumption of innocence and the mitigating circumstances have to respect normally before judgment. It is the logical operation of the justice already violated by media revelations and sentences in certain situations. However this principle concerns more of individual realities than those of collective massacres. However at the time of proven massacres, unjustifiable, initially, at the time of television, of Internet, the satellites and the cellphone, the social networks, the world legal institutions should have a right of alarm of interpellation in front of the public opinions. Then, it is necessary to break this logic recalled by CLAUSEWITZ, according to whom the natural recourse to the war is that to continue the policy by other means. The Security Council of UNO should be equipped with additional powers of intervention: of which that of the right of interference humane under certain conditions specified after examination by a group of expert legal international recognized. This, in order to make respect the right to the respect of dignity of the life, any life. In the circumstance, it would not be a question of making the war, but to discourage it, while interposing, calling with the dialog, the right to the existence by discouraging inclinations of war and the attacks to the human rights and if this force of peace is attacked, it would counteract with firmness and determination. The respect of the human rights, of the dignity of any human life would have its consequences on that of the respect of any life: animal, vegetable, mineral…. If the policy does not propose it, it is to the writer with philosophical purpose to propose it. Let us announce, that the United Nations Charter presupposed the existence of a world community. However the charter contains two contradictory principles. According to one of the concepts, the components are the States, the other is centered on the human being as an individual. However, in the structure of the United Nations the first concept prevails and is illustrated by procedures évidentes.la task of the organization to impose limitations and constraints in the States proves to be complicated insofar as the States are Masters of their decisions. The States feel reluctant to set themselves their own requirements in the respect of the duties. This reality has its incidence in many decisions. Whereas our political elected officials, the media do not cease calling with the mobilization citizen, a committed citizen in a way innovating for the culture and peace generally receives this incredible answer of the Institutions and territorial collectivities: only and under certain conditions associations and ONG can be helped, but not an individual project even innovating! Quite as worrying: As mentioned it a lawyer:Frederic SUDRE, in a test of more than 800 pages devoted to the European and international right of the human rights, currently the international law was unable to give a precise definition of the concept of people. As for the right to the life = there remains dubious, this, because if the international texts state the right to the life, they do not define the life! For my part, I gave my definition of these 2 requirements in my work. (1) Copyright Guy CREQUIE French writer with philosophical purpose Messenger of the peace of UNESCO Gold medal of the French academic company - Art-Science-letters” Award-winning of the European Academy of arts Docteur Honoris Causa of the world Academy of the culture and arts French representative of ONG international of peace and harmony (1) Guy CREQUIE “To reconcile the rights and the duties for the future of humanity “- Editions of Saint-Mercies 2010, then European University Editions 2011, and more recently of” Chronicles on the world and planetary challenges “(2) - Editions Edilivre Paris 2013 ¡PROBLEMÁTICA EMPRESARIAL DE NUESTRO TIEMPO! (Con respecto al derecho de injerencia humanitario y al derecho internacional!) El sistema político internacional actual se basa en la realidad de los Estados Nación basada en la Carta de las Naciones Unidas. Con este sistema, en los organismos internacionales cada país dispone de una voz. Este sistema tiene sus ventajas, sin embargo, él tiene un grave inconveniente. No propongo crear nuevas estructuras, ni modificarse arbitrariamente lo que existe Digo simplemente que hoy en nombre del derecho al respeto de su territorio, el de fronteras jurídicas y geográficas, en toda impunidad de los Dictadores o grupos extremistas pueden en toda impunidad:decidir, tener, torturar, asesinar, o utilizar colectivamente la fuerza de las armas, por el ejército, la policía, o de las milicias para reprimir tal etnia, o incluso a todo un pueblo, y esto en nombre de su legitimidad territorial, étnica o teológica. No es tiempo: considerar el universalismo moral kantien del respeto del derecho a la dignidad de la vida, a tratar el ser humano como un final = principio que está más allá de consideraciones jurídicas en curso. No olvidan las advertencias de Jean-Jacques Rousseau. ¿Qué sería necesario hacer? Ya, dar aún más medios al organismo de la gobernanza mundial: ¡la ONU! En la cumbre del milenio en septiembre de 2000, el Secretario General de la ONU del tiempo Kofi Annan, indicaba que la Institución sólo se había beneficiado un 0,5% de la suma de los 800 mil millones de dólares que los Estados l$miembros habían gastado para su defensa nacional. A esto, como autor, añado 734 miles millones considerados para la venta de armas ilícitas (cifra indicada por el representante de un Estado africano) en la cumbre para la tierra organizada en 2002 en Lyon por Señores GORBACHEV y STRONG con la ciudad de Lyon. Nuestro mundo se dotó con Instituciones jurídicas internacionales para condenar a los Estados o a las personas en crímenes de guerra o crímenes contra la humanidad. Sin embargo los juicios son largos, pesados a organizar. Ciertamente la culpabilidad no se demuestra hasta después un juicio. También, la presunción de inocencia y las circunstancias atenuantes tienen que respetar normalmente antes del juicio. Es el funcionamiento lógico de la justicia ya violada por revelaciones y frases de información en algunas situaciones. Sin embargo este principio se refiere más a realidades individuales que el de masacres colectivas. Sin embargo en masacres probadas, injustificables, inicialmente, a la hora de la televisión, Internet, los satélites y el teléfono portable, de las redes sociales, las instituciones jurídicas mundiales deberían tener derecho de alerta de interpelación ante las opiniones públicas. A continuación, es necesario romper esta lógica recordada por CLAUSEWITZ, según la cual el recurso natural a la guerra es el seguir la política por otros medios. El Consejo de Seguridad de la ONU debería ser dotado con poderes de intervención suplementarios: que el del derecho de injerencia humanitario bajo algunas condiciones precisadas tras examen por un grupo de expertos jurídicos internacionales reconocidos. Y ello, con el fin de hacer respetar el derecho al respeto de la dignidad de la vida, de toda vida. En la circunstancia, no se trataría de hacer la guerra, pero de desalientarla, al interponerse, apelante al diálogo, al derecho a la existencia al desalientar las veleidades de guerra y los ataques a los derechos humanos y si esta fuerza de paz se ataca, contrariaría con firmeza y determinación. El respeto de los derechos humanos, de la dignidad de toda vida humana tendría sus consecuencias sobre la del respeto de toda vida: animal, vegetal, mineral…. Si la política no lo propone, es al escritor con finalidad filosófico por proponerlo. Indiquemos, que la Carta de las Naciones Unidas presuponía la existencia de una comunidad mundial. Sin embargo la carta contiene dos principios contradictorios. Según uno de los conceptos, los elementos constitutivos son los Estados, el otro se orienta hacia el ser humano como individuo. Ahora bien, en la estructura de la Organización de las Naciones Unidas el primer concepto prevalece y se ilustra por procedimientos évidentes.la intenta de la organización que imponga limitaciones y dificultades en Estados resultan complicados en la medida en que los Estados son amos de sus decisiones. Los propios Estados repugnan a establecerse sus propias exigencias en cumplimiento de los deberes. Esta realidad tiene su incidencia en muchas decisiones. Mientras que nuestros cargos electos políticos, los medios de comunicación no dejan de llamar a la movilización ciudadana, un ciudadano comprometido de manera innovadora para la cultura y la paz recibe generalmente esta respuesta que alucina Instituciones y a colectividades territoriales: ¡sólo y bajo algunas condiciones las asociaciones y ONG pueden ser ayudadas, pero no un proyecto individual incluso innovador! Igualmente inquietante: Como lo mencionó un jurista:Frédéric SUDRE, en una prueba de más de 800 páginas consagrada al derecho europeo e internacional de los derechos humanos, actualmente el derecho internacional fue incapaz de dar una definición precisa del concepto de pueblo. ¡En cuanto al derecho a la vida = sigue siendo dudoso, esto, ya que si los textos internacionales enuncian el derecho a la vida, no definen la vida! Por mi parte, di mi definición de estas 2 exigencias en mi obra. (1) Copyright Guy CREQUIE Escritor francés con finalidad filosófica Mensajero de la paz de la UNESCO Medallista de oro de la sociedad académica francesa - arte-ciencia-Cartas” Laureado de la Academia Europea de las artes Docteur Honoris Causa de la Academia mundial de la cultura y las artes Representante francés de ONG internacionales de paz y armonía 1) Guy CREQUIE “reconciliar los derechos y los deberes para el futuro de la humanidad “- Ediciones de Santo-Paz 2010, luego Ediciones Universitarias Europeas 2011, y más recientemente de” Crónicas sobre el mundo y lo que está en juego a niveles planetarios “(2) - Ediciones Edilivre París 2013 __._,_.___Reply via web post Reply to sender Reply to group Start a New Topic Messages in this topic (3) Recent Activity: Visit Your Group Switch to: Text-Only, Daily Digest • Unsubscribe • Terms of Use • Send us Feedback . __,_._,___